Vacancelles
Comme dit dans l'article précédent, je suis allée péleriner du côté de la Vienne, cette fin de semaine dernière.
Comme vous pouvez le voir, c'est toujours aussi beau, aussi chouette et mirifique. Après ma découverte de Lutèce l'été, voici Poitale l'estivale. Il n'y a personne dedans. Juste des travaux. Oserai-je vous l'avouer ? Poite devient impersonnelle. Eh ouais. Ce n'est plus la petite ville romantique et charmante que je croyais aimer. Il y a eu l'auditorium, la grand-rue rénovée, les pavés noyés sous le bitume lisse, la gare chirurgicale et les murs tout blancs. Ouiiiin ! Où est passé le Poitiers d'antan ?
Hum, fin du ton de vioque.
Poite est toujours fidèle à elle-même dans ses escaliers tortueux, ça, on ne pourra pas lui enlever. Et c'est couhoule.
Mais je n'ai pas fait que rester à Poite-poite. J'ai visité les villages alentour, répondant aux doux nomc de Gizay (en Egypte, donc), Migné-Auxance (si vous y allez, faites un détour par le cimetière il vaut le coup d'oeil. Oh que oui !), La Roche-Posay... Et tout ça pour quoi ? Faire la fête, jouer, voir les amis que je n'avais pas vus depuis un an pour certains. Rencontrer de nouvelles tête et se dire que la vie avance. Ha, zut, je vais reprendre mon ton chevrotant de sexagénaire.
Pour la première fois de ma vie je me suis baignée dans une rivière. Eh oui, je n'avais malheureusement connu que l'océan atlantique, et les piscines. La rivière, ça a un autre goût, n'en déplaise aux gens qui se sont fichus de moi pour cette remarque que j'ai trouvé sensée.
Et c'est beaucoup mieux. D'abord parce que je n'aime pas le sel, ensuite parce que j'associe la mer à Non-Ré, et surtout parce que dans la mer, quand je n'ai plus pied j'ai vite peur (d'accord, ça ne se voit pas, on dirait que j'adore me baigner des heures et aller loin, mais détrompez-vous...). Alors que dans une rivière, on peut nager jusqu'à la rive d'en face. Y découvrir des sources glaciales et des ailes de libellules. Dans la rivière il y a du courant et un barrage qui fait rouler les cailloux, et c'est génial.
Bon, et de retour sur lutèce, tout à l'heure nous irons dans la piscine de Paris-plage. C'est pas la même limonade.
Comme vous pouvez le voir, c'est toujours aussi beau, aussi chouette et mirifique. Après ma découverte de Lutèce l'été, voici Poitale l'estivale. Il n'y a personne dedans. Juste des travaux. Oserai-je vous l'avouer ? Poite devient impersonnelle. Eh ouais. Ce n'est plus la petite ville romantique et charmante que je croyais aimer. Il y a eu l'auditorium, la grand-rue rénovée, les pavés noyés sous le bitume lisse, la gare chirurgicale et les murs tout blancs. Ouiiiin ! Où est passé le Poitiers d'antan ?Hum, fin du ton de vioque.
Poite est toujours fidèle à elle-même dans ses escaliers tortueux, ça, on ne pourra pas lui enlever. Et c'est couhoule.
Mais je n'ai pas fait que rester à Poite-poite. J'ai visité les villages alentour, répondant aux doux nomc de Gizay (en Egypte, donc), Migné-Auxance (si vous y allez, faites un détour par le cimetière il vaut le coup d'oeil. Oh que oui !), La Roche-Posay... Et tout ça pour quoi ? Faire la fête, jouer, voir les amis que je n'avais pas vus depuis un an pour certains. Rencontrer de nouvelles tête et se dire que la vie avance. Ha, zut, je vais reprendre mon ton chevrotant de sexagénaire.
Pour la première fois de ma vie je me suis baignée dans une rivière. Eh oui, je n'avais malheureusement connu que l'océan atlantique, et les piscines. La rivière, ça a un autre goût, n'en déplaise aux gens qui se sont fichus de moi pour cette remarque que j'ai trouvé sensée.
Et c'est beaucoup mieux. D'abord parce que je n'aime pas le sel, ensuite parce que j'associe la mer à Non-Ré, et surtout parce que dans la mer, quand je n'ai plus pied j'ai vite peur (d'accord, ça ne se voit pas, on dirait que j'adore me baigner des heures et aller loin, mais détrompez-vous...). Alors que dans une rivière, on peut nager jusqu'à la rive d'en face. Y découvrir des sources glaciales et des ailes de libellules. Dans la rivière il y a du courant et un barrage qui fait rouler les cailloux, et c'est génial.
Bon, et de retour sur lutèce, tout à l'heure nous irons dans la piscine de Paris-plage. C'est pas la même limonade.