Vacancelles
Voilà il est habituel maintenant que je passe quelques jours de vacances en suivant mon trajet favori, à savoir l'itinéraire tégévesque Poitale-Panamounette. Ce que je fis donc et m'en vais vous narrer ci-de suite.
Train depuis Hell Air, donc, dont vous ne trouverez bien entendu pas de photos (bon, vous pouvez aller là), pour s'arrêter à Poite. Impressions de déjà-vu un peu partout, mais pas désagréable. Juste déjà-vu, déjà fait, déjà erré là (comme c'est énervant ces accents). Mais bien entendu une envie de péleriner aux endroits stratégiquement sentimentaux. Comme le petit passage obligé par HeilMarie, pudiquement nommée Notre Dame des Dunes, j'en ai déjà parlé, la vierge dont l'apparition survient après un parcours initiatique, que vous avez ci-contre ---->
Le deuxième pélerinage fut celui de la facounette, mais ça c'était obligé, je ne m'apesantirai pas plus sur ce campus verdoyant et mirifique oú il fait bon vivre.
Le troisième pélerinage, le plus important, fut celui du tourniquet de Blossac, dont un jour il faudra que je prenne une photo aussi (le "un jour" sous-entend donc un autre voyage *sourit*). Ce tourniquet est celui des Grandes Décisions, je lui ai rendu visite car c'est sur lui que je formule en vrais mots les grands départs (merci Siamoise, et merci LénineS). Ce jour je lui ai "dit" que je ferai ma prochaine année scolaire à Paris (sous réserve de... naturellement). Mais ce n'est pas tout, non. Car dans l'après-midi nous y retournâmes, et là advînt la chose la plus terrible de ma vie, la radicale et brutale Prise De Conscience : nous nous sommes faits virer dudit jeu. Car "c'est pour les petits". Voilà, j'ai subitement réalisé que je faisais partie des "grands", et ça pique.
J'ai également pour la première fois de ma vie visité la campagne, avec vaches, canards, poules et lapins. Surtout juste avant d'aller à Paris, moi je dis, c'est la classe. Merci Vévé !
Puis Panamounette, la belle, la grande, la grise, enfumée, oú tout est cher, oú les gens ne sont pas des Gentils Poiteux... La ville oú bien longtemps avant (selon les dires du gardion de Blossac) je naquis. Celle-là quoi. Celle qui (sous réserve de...) sera mon fief et dont je tenterai de vous narrer les coins chouettes comme j'essaie de le faire sur ce blog (sous réserve d'Internet aussi). Celle oú l'on peut voir des images insoutenables comme ce meurtre-ci --->
(oui, ce fut autrefois un vélo, a confirmé l'autopsie)
Cette ville qui à elle seule est un pays, que nous avons parcouru dans tous les sens comme des touristes en disant que c'est beau. Et même, mon guide malgré lui reconnaissait "c'est bien, Paris".
Train depuis Hell Air, donc, dont vous ne trouverez bien entendu pas de photos (bon, vous pouvez aller là), pour s'arrêter à Poite. Impressions de déjà-vu un peu partout, mais pas désagréable. Juste déjà-vu, déjà fait, déjà erré là (comme c'est énervant ces accents). Mais bien entendu une envie de péleriner aux endroits stratégiquement sentimentaux. Comme le petit passage obligé par HeilMarie, pudiquement nommée Notre Dame des Dunes, j'en ai déjà parlé, la vierge dont l'apparition survient après un parcours initiatique, que vous avez ci-contre ---->
Le deuxième pélerinage fut celui de la facounette, mais ça c'était obligé, je ne m'apesantirai pas plus sur ce campus verdoyant et mirifique oú il fait bon vivre.
Le troisième pélerinage, le plus important, fut celui du tourniquet de Blossac, dont un jour il faudra que je prenne une photo aussi (le "un jour" sous-entend donc un autre voyage *sourit*). Ce tourniquet est celui des Grandes Décisions, je lui ai rendu visite car c'est sur lui que je formule en vrais mots les grands départs (merci Siamoise, et merci LénineS). Ce jour je lui ai "dit" que je ferai ma prochaine année scolaire à Paris (sous réserve de... naturellement). Mais ce n'est pas tout, non. Car dans l'après-midi nous y retournâmes, et là advînt la chose la plus terrible de ma vie, la radicale et brutale Prise De Conscience : nous nous sommes faits virer dudit jeu. Car "c'est pour les petits". Voilà, j'ai subitement réalisé que je faisais partie des "grands", et ça pique.
J'ai également pour la première fois de ma vie visité la campagne, avec vaches, canards, poules et lapins. Surtout juste avant d'aller à Paris, moi je dis, c'est la classe. Merci Vévé !
Puis Panamounette, la belle, la grande, la grise, enfumée, oú tout est cher, oú les gens ne sont pas des Gentils Poiteux... La ville oú bien longtemps avant (selon les dires du gardion de Blossac) je naquis. Celle-là quoi. Celle qui (sous réserve de...) sera mon fief et dont je tenterai de vous narrer les coins chouettes comme j'essaie de le faire sur ce blog (sous réserve d'Internet aussi). Celle oú l'on peut voir des images insoutenables comme ce meurtre-ci --->
(oui, ce fut autrefois un vélo, a confirmé l'autopsie)
Cette ville qui à elle seule est un pays, que nous avons parcouru dans tous les sens comme des touristes en disant que c'est beau. Et même, mon guide malgré lui reconnaissait "c'est bien, Paris".